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Toul, le 31 Mai 2003


A Jean Tanazacq, si grand par le couteau, par l'esprit, l'humour et la chaleur humaine. J'aurais aimé vous avoir à mes côtés.


                                                    Votre  BIGEARD



Du couteau, instrument et symbole de Jean Tanazacq

** Ingénieur de formation, Jean Tanazacq est le fondateur de la société Ardennlame, entreprise de coutellerie artisanale bien connue de tous les chasseurs de grand gibier. Du ¨ Prairie ¨ au ¨ Tronçay ¨, de l'épieu de chasse au skinner, les couteaux fabriqués dans ses ateliers de l'Ardenne ont acquis une flatteuse réputation sur tous les terrains de chasse du monde. Cependant, le couteau ne se réduit pas pour lui à sa seule fonction utilitaire, fonction apparemment limitée ou désuète. Depuis les premiers bifaces taillés par nos ancêtres de la Préhistoire, si le couteau a exercé une fascination toujours vivace sur les hommes, c'est en raison de sa puissance symbolique: couteau de sacrifice religieux, glaive de l'Esprit divin, emblème de puissance et de justice. Passionné d'histoire et féru de théologie, l'auteur, à partir de notes et de réflexions prises depuis des années, met l'accent sur le rôle de l'arme blanche dans l'histoire militaire récente - c'est avec des succédanés de couteaux que les terroristes du 11 septembre ont pris le contrôle des avions-suicides qui ont ébranlé le monde – tout comme il met en relief sont importance en tant qu' instrument de survie, comme auxiliaire de la chasse, et comme facteur ¨ spirituel ¨. Bourré d'anecdotes et de digressions, parfois étonnantes mais jamais ininterressantes, ce gros livre se lit comme un roman.      Jours de Chasse * ETE 2003






"Du couteau", par Jean Tanazacq

En lisant le titre de ce véritable pavé, on pourrait penser, là, tout de suite, que l'auteur Jean Tanazacq, l'ingénieur coutelier bien connu, nous dévoile tous ses secrets techniques de fabrication qui ont fait sa grande réputation dans le monde du couteau artisanal. En fait, il s'agit de bien plus que cela. Plus exactement, l'auteur nous dévoile d'autres secrets, beaucoup plus personnels, qui l'ont amené à fabriquer des couteaux.

Il ne s'agit pas là non plusd'une simple autobiographie mais , plutôt, d'une invitation à un voyage initiatique, voire mystique, sur l'utilité du couteau et, surtout, sur sa symbolique, à travers un regard personnel sur le monde et les hommes.

C'est une approche originale du couteau, doublée d'un livre de réflexis, qui nous plonge au coeur même de l'âme de l'auteur.

EXCALIBUR Juin-juillet-Août 2003




LECTURE par Adrieu Gaudineau

J'ai eu le vif plaisir de recevoir le livre de Jean Tanazacq:                        "Du Couteau" Instrument et symbole                                                           Imprimé par Publication

On ne résume pas un tel livre, il faut le lire.                                        D'abord, pour son charme très personnel, son originalité, son très grand intérêt, bref, son style. Et Dieu sait si Jean Tanazacq possède personnalité et style.                                                                                                        Ce livre est tout à la fois une ouverture sur le chemin de la vie et la jeunesse de son auteur, ainsi qu'un vaste panorama du couteau , vu comme un instrument fascinnant et un profond symbole religieux, c'est à dire qui relie l'homme à ses plus profondes racines et au mystère de sa relation avec le surnaturel.                                                                                              Une réflexion personnelle, historique, militaire, philosophique, stratégique et théostratégique, parcourt cet ouvrage à nul autre pareil et lui donne un cachet que j'ai trouvé, pour ma part, irrésistible.                                        On y trouve aussi de savoureuses disgressions, et de piquantes créations de mots, comme le superbe "ignarque" ( page 107).                                    Voilà un livre qui se hausse par moment au niveau de la saga et du roman picaresque, sans jamais cesser de nous tenir en haleine.   J'y ai retrouvé des souvenirs de jeunesse, en particulier ma lecture des ouvrages de Grey Owl en 1955.                                                                                                       Les longues citations d'ouvrages épuisés ne sont pas le moindre de ses attraits.

LA PASSION DES COUTEAUX                                                       Août-Septembre-Octobre  2003                              

                                                           









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